| | | KENNEDY ► maybe it's not my weekend, but it's gonna be my year. |  |
| | Auteur | Message |
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Kennedy Carwley-Smith
WILD CHILD ♦ STUPID CRITIQUES.
Messages : 386
Date d'inscription : 12/03/2010
Célébrité de l'avatar : DIANNA AGRON;
Statut : Single, and ready to mingle!
Job : Mannequin pour Miu Miu. Dream Job, uh? Pas si génial qu'on le croit...
Citation du jour : L'expérience est le nom que chacun donne à ses erreurs - OSCAR WILDE.
 | Sujet: KENNEDY ► maybe it's not my weekend, but it's gonna be my year.  14/05/10, 02:23 pm | |
| IDENTITY CARD
 FBI, sortez vos papiers
 © shiya |
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WHAT ABOUT MY TASTES ?
le célèbre questionnaire de Proust, only for you!
♣ Ma vertu préférée; la franchise.
♣ Le principal trait de mon caractère; je suis bien trop têtue.
♣ La qualité que je préfère chez les hommes; le sens de l'humour.
♣ La qualité que je préfère chez les femmes; leur sixième sens.
♣ Mon principal défaut; je suis difficile à cerner, lunatique, et j'intériorise beaucoup trop.
♣ Ma principale qualité; mon sens de la compétition peut-être? difficile de trouver ma principale qualité, faut-il déjà que j'en ai une.
♣ Ce que j'apprécie le plus chez mes amis; leur sens de la rigolade et de la fête.
♣ Mon occupation préférée; bronzer sur le pont d'un yatch, assister aux fêtes des créateurs (même si la plupart m'ennuient, certaines sont plutôt cool), passer du temps avec ma meilleure amie.
♣ Mon rêve de bonheur; que ma mère me lâche enfin la grappe avec le mannequinat, que je parvienne enfin à lui avouer que je ne supporte plus ça? Ces derniers temps, cette histoire m'obsède tellement que toutes mes pensées ne tournent plus qu'autour de ça.
♣ Quel serait mon plus grand malheur ? Mon plus grand malheur... ce serait certainement de mourir après la mort de tous mes proches. Étrange, je sais.
♣ Mes auteurs favoris en prose; Hemingway, bien que je ne lise pas vraiment de prose.
♣ Mes héros/héroïnes dans la fiction; je n'en ai pas vraiment...
♣ Mes peintres préférés; la peinture et moi, ça fait deux, alors je n'ai pas vraiment d'opinion, même si plusieurs artistes tels qu'Andy Warhol m'inspirent parfois.
♣ Mes héros/héroïnes dans la vie réelle; malgré tous les accrochages que nous avons pu avoir, mes parents restent mes héros, et le sont depuis mon plus jeune age.
♣ Mes héros dans l'histoire; Marie Antoinette, Jeanne D'Arc, Napoléon.
♣ Ce que je déteste le plus; les gens vivant dans leur petit monde de bisounours, qui pensent que la vie est un long fleuve tranquille parfumé à la rose, ceux qui sourient sans arrêt et qui aiment tout le monde, qui n'ont pas d'ennemis... Je les trouve tout bonnement insupportables !
♣ Comment j'aimerais mourir; entourée des gens que j'aime réellement, après leur avoir avoué tout ce que j'ai longtemps gardé sur le cœur. Mourir tranquillement, dans mon sommeil, sans douleur.
♣ L'état présent de mon esprit; légèrement noir et pessimiste, comme d'habitude.
♣ La faute qui m'inspire le plus d'indulgence; peut-être l'infidélité, lorsque ça arrive pour la première fois.
♣ Ma devise; chassez le naturel, il revient au galop.
TELL ME ALL ABOUT YOU, THE 'REAL' YOU
qui est derrière l'écran, on veut tout savoir
 gif by tiny | ♣ PRÉNOM/PSEUDO : Leah.
♣ AGE : 182 ans.
♣ AVATAR UTILISÉ: la sublime, magnifique, incroyable, DIANNA AGRON 
♣ IMPRESSIONS SUR LE FORUM: Ben... il est juste parfait, les admins sont parfaites, les PV sont géniaux, bref il déchire tout quoi. 
♣ PRÉSENCE SUR 7 JOURS: Bwaaa, tous les jours évidemment.
♣ MOT DE LA FIN: WE ROOOOOOOOOOOCK!  |
Dernière édition par Kennedy Carwley-Smith le 25/08/10, 09:49 pm, édité 4 fois |
| | | | Kennedy Carwley-Smith
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| | Sujet: Re: KENNEDY ► maybe it's not my weekend, but it's gonna be my year. 04/07/10, 04:47 pm | |
| NOTHING SWEET ABOUT ME
deux petites anecdotes à remplir. Have fun.
- Oui, Maman. Oui. Oui. Non. Oui. Non, Maman.
Kennedy claqua la porte, et poussa un énorme soupir en s'affalant sur un des canapés qui venaient d'être livrés au milieu de son appartement tout beau tout neuf. Elle lâcha son Blackberry et posa son coude sur ses yeux pour faire le noir. Les déménageurs avaient laissé les cartons au milieu du salon, et la blondinette sentait qu'elle allait passer sa journée à déballer ses affaires. Et ca la déprimait. Le bourdonnement incessant de la voix de sa mère fit réagir Kennedy, qui attrapa le téléphone et le colla contre son oreille droite.
- Et puis, ce contrat...
- Maman?
- Personnellement, je trouve que l'argent...
- Maman?
Bla, bla, bla bla bla... Kennedy était supposée se sentir bien, elle était enfin libre, enfin débarrassée de ses parents, elle avait son propre appartement au coeur de Manhattan, un magnifique loft immaculé qu'elle avait acheté une petite fortune, et pour lequel elle avait eu un immense coup de cœur. Mais après tout, elle pouvait se le permettre, avec le fric qu'elle gagnait. Oui, elle était censée être heureuse et épanouie, et pourtant, elle n'avait qu'une envie, c'était chialer. Poor little girl... Elle ôta ses Louboutins distraitement, lissa son top Singer 22 d'une main, n'écoutant même plus sa mère au bout du fil, puis observa son appartement vide.
Bip, bip.
- Je dois te laisser Maman. J'ai un double appel. Ciao.
- Kennedy? C'est Savi, fit une voix guillerette dès que la blonde eut raccroché.
Savi. De son vrai nom, Savannah. Son agent bien aimé. C'était la dernière personne qu'elle avait envie d'entendre, mais elle ravala ses larmes silencieusement et inspira à fond.
- J'ai un contrat de fo-lie pour toi ma belle ! Un truc super bien payé qui va te rapporter une petite fortune. C'est un shoot avec un...
Kennedy n'entendait plus rien, elle avait déjà balancé son téléphone de l'autre coté de la pièce, et elle éclata en sanglots étouffés, enfouissant sa tête dans un coussin. Elle n'en pouvait plus du mannequinat, de son agent, et de sa mère qui ne comprenait pas qu'elle haïssait désormais ce milieu surfait, qui lui avait pourtant ouvert ses portes.
C'était pourtant une belle journée, et c'était censé être le premier jour du reste de sa vie. Elle était supposée être heureuse, déballer ses cartons en dansant sur Are You Gonna Be My Girl de Jet, appeler Cassidy pour qu'elle vienne la rejoindre, compter ses paires de Louboutins, et hurler de joie à l'idée que sa mère ne soit plus sur son dos. Mais aulieu de ça, elle se retrouvait à pleurnicher dans son canapé. La vie est tellement injuste ! se dit-elle en séchant ses larmes.
Life's not always fair, honey.
- On... ne devrait... pas... faire... ça... soupira-t-elle.
Kennedy repoussa une mèche de ses cheveux blonds tandis que Melvin l'embrassait fougueusement dans la nuque. Elle savait pourtant que c'était mal, que Malvin avait une petite amie, qu'ils étaient supposés être AMIS. Seulement amis. (d'après la définition du dictionnaire; n. personne pour laquelle on a de l'amitié, de l'affection, ou avec laquelle on a des affinités. Aucun plan cul mentionné.). Oh, oui, Kennedy le savait pertinemment, mais Melvin était si craquant, et ses baisers la faisait littéralement fondre. Alors il suffisait qu'elle ai quelques verres dans le nez -comme ce soir-là- ou rien de mieux à faire -comme ce soir-là- pour qu'ils finissent par coucher ensemble, une fois de plus. Ils avaient pourtant passé l'accord du on-est-amis-et-pas-amants, mais parfois... Ce fameux accord passait aux oubliettes. Comme ce soir-là.
- Tu sens si bon, lui murmura Melvin au creux de l'oreille.
- Cette phrase là, tu l'a déjà sortie à combien de filles au fait? répliqua-t-elle avec sarcasme.
Melvin resta silencieux tandis qu'ils continuaient de se peloter sur le canapé de l'appartement de Kennedy. Canapé en cuir blanc italien hors de prix d'ailleurs. Mais les pensées de cette dernière divaguaient plutôt sur sa relation étrange avec Melvin que sur le canapé sur lequel ils étaient sur le point de passer à l'acte. Une nouvelle fois. Et l'image de la copine de Melvin, en larmes, apparut soudain dans l'esprit de Kennedy qui se releva brusquement, repoussant le jeune homme torse nu.
- Qu..
- On ne peut pas faire ça, Melv, c'est pas bien...
Le concerné se releva en soupirant, exaspéré, tandis que la blondinette ferma les yeux, plongée dans ses pensées. Elle n'était pas censée se sentir coupable, pourtant. C'était Melvin qui était en couple, pas elle. C'était lui qui trompait sa petite amie, pas elle. C'était sa petite amie en question qui ne réagissait pas, c'était son problème, et puis aucun sentiment n'était présent entre elle et le jeune homme, alors pourquoi se prendre la tête ? C'était ce qu'elle tentait de se répéter en boucle depuis la première fois qu'ils avaient couché ensemble, deux mois auparavant.
FLASH BACK - 2 MONTHS EARLIER
Bruits de vêtements froissées, soupirs. Il est une heure du matin, dans un appartement modeste de Manhattan, un jeune homme au crane a moitié rasé, une jeune femme blonde. Ils rentrent probablement d'une soirée ou ils se sont rencontrés, ou le garçon a certainement dragué la blonde, qui, ayant certainement bu, est certainement tombé sous son charme. Ils s'embrassent fougueusement, et finissent évidemment, au lit ensemble.
Ils échangent rapidement leurs numéros, en étant néanmoins chacun de leur coté, sûrs, qu'ils ne se reverraient jamais. Coup d'un soir, quand tu nous tiens.. Et pourtant...
Dieu sait qu'ils s'étaient revus. Jusqu'au jour ou Kennedy avait appris que Melvin était en COUPLE.
FLASH BACK - A MONTH AND 2 WEEKS EARLIER
Elle l'avait appris par hasard. Son téléphone avait sonné. Par pure curiosité, elle n'avait pu s'empêcher de regarder le nom de l'appelant. "Bébé." Et Kennedy avait effacé de fureur le nom de Melvin de son propre téléphone. Il avait bien essayé de la rappeler, mais elle filtrait ses appels. Et puis, il y eut l'explication. "Ma copine et moi, on est plus vraiment ensemble... enfin, si, mais non..." Une explication pas très convaincante, d'ailleurs.
Lorsque elle se souvint de ce jour ou elle avait découvert la vérité sur Melvin, Kennedy se souvint également qu'elle s'était promis de ne plus jamais coucher avec lui. Promesse qu'elle avait à peine tenue, puisque ils étaient devenus « amis » avant de finir par coucher de nouveau ensemble à peu près une fois toutes les deux semaines. Elle y pouvait quoi si elle tombait sous son charme à chaque fois qu'elle buvait un verre de vodka-citron vert? Oh et puis merde, c'était pas son problème si il trompait sa copine, elle y pouvait rien à la fin ! On a qu'a dire qu'on est amis avec bénéfice, après tout. Ca sert à ça un plan cul ! se dit-elle à elle-même. Fuck off!
- Embrasse moi, imbécile, chuchota-t-elle en l'attirant vers elle. |
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