| | | Eyes That Burns Like Cigarettes [TERMINÉ] |  |
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Norah Johnson
NEW YORKER l I want to wake up in a city, that doesn't sleep.
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We're really quite nice and friendly, but everyone has a beastly side to them, don't they?
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WHAT ABOUT MY TASTES ?
le célèbre questionnaire de Proust, only for you!
♣ Ma vertu préférée; Charisme
♣ Le principal trait de mon caractère; Avant c'était trop gentille, maintenant c'est joueuse.
♣ La qualité que je préfère chez les hommes; Qu'il me fasse rire ? Non, vraiment, qu'il ne soit pas un imbécile est déjà pas mal.
♣ La qualité que je préfère chez les femmes; On est entre fille, faut pas être méchante pour des riens !
♣ Mon principal défaut; Cynique
♣ Ma principale qualité; Déterminée
♣ Ce que j'apprécie le plus chez mes amis; Que je puisse m'amuser avec eux.
♣ Mon occupation préférée; La photographie
♣ Mon rêve de bonheur; Devenir une photographe connue
♣ Quel serait mon plus grand malheur ? Ne pas réussir à venger ma soeur
♣ Mes auteurs favoris en prose; Shakespear
♣ Mes héros/héroïnes dans la fiction; Cat Women ? Je sais pas, moi.
♣ Mes peintres préférés; Leonard De Vinci et Monet
♣ Mes héros/héroïnes dans la vie réelle; Ma soeur
♣ Mes héros dans l'histoire; La Marquise De Merteuil
♣ Ce que je déteste le plus; Le tofu.
♣ Comment j'aimerais mourir; Aujourd'hui, plutôt jeune et tragiquement, mais il fut une époque où c'était dans mon sommeil (l'option la plus ennuyante, vous voyez le genre...)
♣ L'état présent de mon esprit; Faim de vengance
♣ La faute qui m'inspire le plus d'indulgence; Tout ce que l'on peut faire par manque de confiance.
♣ Ma devise; La vie est courte si on fait ce qu'il nous plaît.
NOTHING SWEET ABOUT ME
deux petites anecdotes à remplir. Have fun.
1ère anecdote :
NEW YORK
J’avais entendu beaucoup d’histoire, mais c’était plutôt différent en réalité. New York, moi je croyais que c’était le rêve. Ce n’était pas grand-chose, en réalité. Je préférais de très loin Londres. Et en plus, je me trouvais probablement devant l’immeuble le plus riche de la ville (bof, je n’étais pas si impressionnée). Je n’arrivais pas à croire que c’était vraiment mon futur immeuble, grâce à un vieux dégoûtant qui m’avait proposé un rendez-vous quelques heures plutôt. Je n’allais évidemment pas accepter au début, il était ridé, trop vieux, trop dégoûtant de me proposer ça alors que je n’avais que 24 ans. Mais il m’a retenu, et m’a expliqué plus en profondeur la proposition. Si je manquais d’argent, il pouvait me faire vivre comme une princesse. Il pouvait m’emmener à toutes les soirées de gosses de riche, il pouvait m’acheter autant de colliers de perle que je veux, seulement si j’accepte de sortir avec lui. « Sortir » est un concept plus propre à dire, qui semble plus chic en apparence, mais ne vous faites pas de fausses illusions ; il me demandait simplement d’être sa pute de luxe. Il me paye un appartement sur la 5e pour éviter de s’embarrasser si je vis avec lui, et il vient me rendre visite de temps en temps pour recevoir sa partie du marché, du sexe. Choquant, oui. Mais aussi nécessaire. Ce n’était pas mon petit boulot de photographe à temps partiel qui allait m’amener rapidement aux soirées de riche, et c’était précisément la raison pour laquelle je débarquais ici. Pas l’argent, la vengeance. Mais la vengeance passait par côtoyer les soirées de riche, vous l’avez compris. En fait, tout ça pour approcher le pire des imbéciles, l’homme le plus salopard, le plus égocentrique que cette putain de bonne terre n’ait jamais porté. Je ne le connais pas, mais j’en connais assez. Je connais ma sœur, et je connais sa version des faits, et c’est bien assez.
Je finis par entrer. Le portier me reconnaît tout de suite, comme par magie. Il avait sûrement eu un petit message à mon propos. Il me donna les clés de l’ascenseur pour que je puisse aller dans mon nouvel appartement, qui en plus, occupait tout un étage. Je le remerciai d’un sourire et…et bien j’arrivai. NON MAIS C’EST PAS CROYABLE. C’est fou ce qu’un vieux sur le viagra avec une femme ménopausée ferait pour baiser. Je me sens comme dans ces téléséries new yorkaise. Même quand j’étais mannequin, je n’ai jamais vécu dans un endroit pareil. C’est tellement immense, il pourrait y avoir une piscine. Seulement dans le salon/hall d’entrée, en plus. C’était la meilleure chose que je n’avais jamais eu en faisant un marché. La seule chose que je regrettais, c’était ce que moi je devais faire pour avoir toutes ces choses. Baiser avec un vieil homme était loin d’être bien excitant. Mais bon, j’étais prête à faire ces quelques sacrifices pour ma sœur. Elle méritait ces quelques sacrifices, d’ailleurs. Elle avait tellement enduré beaucoup à cause de lui. La voix de sa sœur complètement déprimée au téléphone lui revint en tête, ainsi que la pâleur de son visage et l’expression de tristesse qu’elle avait sur son visage quand elle était rentrée à Londres, quelques mois après avoir commencé à se faire interné dans cette clinique pour dépressifs. L’expression de quelqu’un qui s’était fait volé toutes ses impressions, toutes ses idées par rapport à la vie de la façon la plus dure qu’il soit. C’était horrible, c’était sans cœur. Au moins moi j’ai pu apprendre que la vie était loin d’être un compte de fée grâce à ce qui lui était arrivé à elle, mais j’aurais presque préféré le contraire. Ça avait été horrible de la voir ainsi. Et j’étais tout à faire prête à la venger, à le voir souffrir lui aussi, tellement souffrir qu’il aurait souhaité ne jamais rencontrer Callie Woodward, qu’il aurait souhaité ne jamais faire souffrir les autres. En voilà une bonne leçon. Je voulais qu’il se sente coupable, en réalisant ce que ça fait. Pas seulement en lui torturant l’esprit en étant trop sexy et en ne couchant pas avec lui, non, c’était plus complexe que ça. Il fallait qu’il comprenne ce que c’était d’avoir le cœur brisé. Il fallait qu’il tombe amoureux de moi, et que je le laisse tomber comme une vieille chaussette en lui disant que mon véritable nom était Norah Woodward, et non Johnson.
Johnson était en fait le nom de ma mère, et j’avais décidé de prendre ce nom pour ma nationalité américaine. Ça n’avait pas été très difficile de tout laisser derrière, en fait. Je n’avais rien à moi à Londres, à part mes parents et mon fiancé… Mais bon, l’histoire du fiancé c’est une anecdote différente. J’avais un boulot minable, une vie minable… Je regrettais même d’avoir laissé tomber le mannequinat. Je n’avais plus aucun but, j’avais même presque abandonné la photographie… Tout ce que j’avais qui m’importait vraiment, c’était ma famille. Mes parents et ma sœur. Mais comme ma sœur était tout le temps dans un état second, je m’inquiétais énormément. Et le pire a été quand j’ai appris qu’il vivait encore une vie paisible de gosse de riche en étudiant à Columbia, qu’il avait probablement déjà oublié cette histoire alors que sa sœur allait encore mal. Mes parents me parlaient régulièrement, me répétant qu’il trouvait que j’avais changé, que j’étais plus dure qu’avant, que j’avais rapidement perdu mon innocence. « Innocence » pour ne pas dire « naïveté ». Et j’en avais marre d’être naïve, j’en avais marre de vivre la vie de la petite londonienne ordinaire qui allait essayer de supporter sa sœur sans rien faire de concret ; je suis partie sur un coup de tête selon mes proches, mais j’avais préparé mon voyage secrètement quelques jours à l’avance. Je disais au revoir à Londres, au revoir à mes parents, au revoir à mon fiancée, au revoir à ma sœur, au revoir à ma petite vie pathétique de serveuse de Londres pour aller à New York devenir la pute de luxe d’un vieux riche et côtoyer les gens riches et cruels de la 5e avenue. Ce n’était pas un coup de tête malgré tout. Ma vengeance était bien planifiée. J’étais prêt à exécuter ce plan, peu importe ce que cela allait prendre de mon innocence.
J’arrivai finalement dans la chambre à coucher, et me couchai sur le lit moelleux sur lequel il y avait un petit mot du vieux que je tassai rapidement. Je commençai à sourire, contente de m’être finalement rendue ici. Bonjour, New York.
2ème anecdote :
Le 11 Septembre 2004.
Une date importante, pas seulement pour les New Yorkais, mais aussi pour moi, Norah. Pour le début de ma super carrière. Ça faisait déjà un bail que je faisais quelques photos, pour le plaisir, mais mon père avait fini par les découvrir et m’avait littéralement forcé à les montrer à une quelconque agence. C’est plutôt amusant en fait que ce soit arrivé le 11 septembre, comme si la date prévoyait le drame qui allait bientôt arriver à cause de cette journée en avance. C’est probablement une date maudite, qui sait. Je n’ai jamais vraiment cru à ces trucs de vendredi 13, mais là, je commence à avoir des doutes sur le 11 septembre. Bref. Cette journée-là, mon père m’a donc amené à cette agence ; à cette époque, j’étais beaucoup considérée comme la fille à papa. Je ne l’étais pas vraiment, c’était juste que je m’entendais très bien avec mon père et que je ne me rebellais pas vraiment contre mes parents qu’on disait ça de moi. Bon, on doit se l’avouer, simplement l’avis de gosses de riche des pensionnats privés de Londres, là où j’ai fais mon lycée. (J’étais d’une famille plutôt modeste, mais mes parents économisaient énormément, énormément d’argent pour mes études.) Les élèves qui se pensaient tellement géniaux parce qu’il avait déjà respiré l’odeur de la cigarette et fumer quelques joints ici et là dans la cour. Personnellement, je me sentais beaucoup plus supérieure parce que je ne touchais pas vraiment à ça à part quelques verres de vin avec la parenté. Je sais, je sais, j’étais tellement sage à cette époque que ça me rend plutôt triste. Je croyais au beau prince qui arrive sur le cheval blanc, la vilaine sorcière (et je la voyais sérieusement avec une verue sur le bout du nez) que j'allais arriver à combattre, le dragon qui finalement va devenir sympa.... Ha. La jeunesse. Mais bon, ça m’a quand même permit de partir sur des bonnes bases de sainte-nitouche pour ne pas perdre la raison dans le futur. Alors mon père m’a amené là-bas (à cette agence, faut suivre!). Au début, je n’ai pas réalisé pourquoi tout le monde me fixait. Honnêtement, je commençais à penser que ma jupe était restée coincée dans ma culotte (ce qui, vraiment, aurait pu me faire rire aujourd'hui. Un bon souvenir de moins). Mais ce n’était pas ça du tout. En arrivant dans le bureau du directeur de l’agence, la première chose que j’ai entendu après le bonjour, c’était « C’est pour devenir mannequin? ». Je n’osais pas vraiment croire que c’était pour ça que tout le monde me fixait, mais c’était évidemment le cas. Le mannequinat n’avait jamais vraiment été un domaine qui m’intéressait. Je me voyais plutôt derrière l’appareil photo, j’étais dans le genre discret et gentil avec tout le monde, pas dans le genre mannequin superficielle qui osera détruire quelqu’un d’autre pour avoir une petite place. Mais c’est finalement ce qui est arrivé. Mon père a été tellement excité par la proposition, il voulait absolument que j’accepte de faire quelques photos et que je m’engage dans une agence de mannequinat (d'ailleurs, j'y repense, c'était quoi l'agence de départ?). Ma mère, elle, était plus réticente. Elle avait toujours été plus du genre à rester bien ancré sur les valeurs des années 50, et vouloir se rendre à la l’église tous les dimanches. Elle voyait évidemment le mannequinat d’un bien mauvais œil. Mais j’avais été tellement éblouie par le bonheur de mon père que je voulais vraiment le faire, soudainement. Il y a eu quelques conflits avec ma mère, mais rien de bien important. Elle a finalement été convaincue par le fait que grâce à ce métier, j’allais peut-être pouvoir être plus connue à travers Londres, et la célébrité était très souvent associée avec l’argent. Pour elle, l’argent pour les études. Pour moi, ça devenait de plus en plus l’argent pour m’amuser un peu plus. Alors j’ai accepté d’être mannequin. C’est là que ma vie avec quelques drames a réellement commencé ; tout le monde m’a tout de suite adoré. Tous les photographes voulaient m’avoir dans leur studio, toutes les grandes marques me voulaient dans leur plus grande publicité… Certains se sont mis à me reconnaître dans la rue. J’ai continué mes études, malgré tout. J’avais toujours eu beaucoup d’ambition et travailler en tant que mannequin et étudier en même temps représentait seulement un défi pour moi. De toute façon, j’avais déjà 18 ans et la dernière année de lycée fut terminer avant que je m’en rende compte. À partir de là, nouveau débat avec ma mère ; j’allais à la fac ou je continuais ma carrière à plein temps jusqu’à ce que l’âge m’empêche d’être aussi populaire qu’à ce moment-là. Finalement, mon père et moi, on a gagné. (Parce que mon père était toujours derrière moi à ce moment-là.) La vraie carrière a donc commencé ; je suis pratiquement devenu le mannequin le plus populaire à Londres. J’enchaînais défilés, photos, tournages de publicités… Et puis, la popularité avec le public est rapidement venue avec la popularité auprès des autres mannequins. Au départ, c’était plutôt la compétition (c'était fou à quel point il y avait des personnes méchantes dans ce domaine. J'en ai encore des frissons, vraiment). On essayait de m’enlever du chemin avant que j’en dérange trop. Mais ils ont tous finis par réaliser qu’être amis avec moi devenait indispensable pour avoir un peu plus de publicité(HA!). J’avais même quelques paparazzis qui me suivaient(à la longue, j'avais l'impression de faire partie d'une téléréalité, ça devenait très ennuyant). Bref, c’est en me faisant de nouveaux amis dans ce domaine que j’ai commencé à assister à quelques séances de « sniff » ici et là. Rien de bien important, je n’en ai pris que rarement (je suis encore plutôt réservée et innocente, à ce moment-là, faut comprendre!). Le vrai problème a été ces petites pilules qu’un autre ami mannequin m’a refilé. De vrais petits bonbons en caramel, avec des petits effets comme couper l’appétit. Maintenant que j’étais mannequin, je ne pouvais plus rigoler. Mon apparence était la chose dont je devais prendre le plus soin. Alors j’ai maigri grâce à ces pilules, et aussi grâce à la cigarette. Quelques-unes au début, et puis maintenant, je suis une fumeuse habituée. Mes parents? Et bien, ils faisaient leur affaires, j’avais maintenant 22 ans et il était clair que je dormais plus dans les draps roses avec des motifs de princesse. Je ne dirais pas que ça a été une grande période de débauche, juste une vraie expérience d’ado, mais en retard. À 23 ans, j’ai tout lâché. J’ai réalisé que les pilules me nuisaient plus qu’elle ne m’aidait, et que malgré les quelques kilos que je perdais régulièrement, je n’étais jamais assez mince aux yeux des stylistes et photographes (fallait carrément être morte pour leur plaire). C’est simple, j’ai simplement dit « Fuck off. » Peut-être pas avec ces mots là, je vous l’accorde, mais c’était ma pensée. C’est pendant toute cette période que je me suis vraiment rapprochée de ma sœur ; elle vivait à New York depuis maintenant quelques années, mais on se téléphonait et s’envoyait des lettres, et je sentais qu’elle était vraiment là pour moi dans cette jungle de mannequins. Heureusement, je n’ai pas trop perdue confiance avec cette expérience. J’ai voulu maigrir parce qu’on me disait de maigrir pour mieux réussir, mais après la huitième fois, j’en ai eu marre. En commençant dans ce domaine, je savais qu’ils allaient être comme ça, et j’avais vu trop de mannequin et d’actrice qui se transformaient en squelettes pour pouvoir continuer sans avoir peur d’une perte de confiance. J’avais pas mal d’argent pour vivre encore un bon moment sans travail, et je n’ai fais qu’enchaîner quelques petits boulots en attendant de voir en quoi je voulais étudier. J’ai aussi recommencé à me mettre à la photo, les bons souvenirs ont refait surface. Donc finalement, après tout ça, ma vie est redevenue assez stable et paisible.
3ème anecdote :
LE FIANCÉ.
Bof. Un photographe que j’ai connu pendant que j’étais mannequin. On a commencé à sortir ensemble, même après ma sortie de ce domaine. Il était plutôt du genre bien profond, qui voit son métier comme un art alors que comme il travaille dans la mode, il ne fait que photographier des femmes à moitié nues. Il disait que moi aussi, j’étais profonde, et que j’allais aller loin dans la vie. J’imagine que je l’ai vraiment aimé, j’ai dû fondre pour ses phrases toutes faites dégoulinantes de sentiments. Il était sexy, ce qui était un bon point. Mais maintenant que j’y repense, ça s’arrête là. Il est devenu trop neutre à mes yeux, trop gentil. Il s’est mit à me dire que la vengeance n’était pas la bonne solution lorsque l’on parlait de ma sœur, et de celui qui l’avait envoyé dans cette clinique. Mais en fait, il avait l’air de totalement s’en foutre de ma sœur, et du fait que ça me blessait de la voir ainsi. Plus le temps passait, et plus j’avais l’impression que ses phrases toutes faites qui me disaient que tout allait bien aller était hypocrites, et qui les sortaient juste pour qu’on continue à coucher ensemble. À ce moment-là, on était déjà fiancés depuis quelques semaines, mais rien de bien concret. Le mariage n’avait pas encore vraiment été prévu. Alors quand j’ai quitté Londres, ma famille, et lui, je ne l’ai pas vraiment considéré comme une grande perte. Par contre, pour ma citoyenneté américaine, j’ai écris « fiancée » tout de même, parce que si je reste fiancée techniquement, je pourrais retourner à Londres avec une citoyenneté. Mais sinon, rien de bien grandiose à propos de lui.
TELL ME ALL ABOUT YOU, THE 'REAL' YOU
qui est derrière l'écran, on veut tout savoir
![Eyes That Burns Like Cigarettes [TERMINÉ] Volfdz](https://2img.net/h/oi43.tinypic.com/volfdz.gif) icon by maquizz | ♣ PRÉNOM/PSEUDO : RED
♣ AGE : 16 ans
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♣ IMPRESSIONS SUR LE FORUM: Habituellement les forum city ne me font pas un très grand effet, mais j'ai craqué sur lui ! 
♣ PRÉSENCE SUR 7 JOURS: 5 environ
♣ MOT DE LA FIN: J'ADORE LES MOTS DE LA FIN. D'ailleurs, sur un forum, il n'y avait pas de "autre" mais j'ai quand même écris un petit texte pour le plaisir et en changeant le modèle de présentation les admins ont mit un autre !  J'imagine qu'il y a beaucoup de français ici, mais moi je suis Américaine !  (Non, le smilie d'egypte ne convient pas du tout mais il est sympathique !  ) J'adore écrire, je m'attache toujours aux scénarios qui et aux personnages que je m'invente et qui ne se présenteront jamais dans la réalité, mon fruits préféré c'est les bleuets !! J'aime les films et les livres, les chocolats, noël (d'ailleurs je préfère le congé des fêtes à celui de l'été) et je me sens toujours jeune sur le rpg parce qu'il y en a des plus vieux, habituellement, je ne sais pas si c'est comme ça ici  J'adore les smilies et j'en abuse souvent  mais je les trouve troooop mignon !!!  Bref, je continuerai mon blabla dans le flood (: Et j'ai hâte de pouvoir rp avec vous <33 |
Dernière édition par Norah Johnson le 13/12/10, 01:58 am, édité 7 fois |
| | | | Scarlett Aberline
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| | Sujet: Re: Eyes That Burns Like Cigarettes [TERMINÉ] 07/12/10, 03:51 pm | |
| Bienvenue  Je te réserve Frida.  |
| | | | Norah Johnson
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| | Sujet: Re: Eyes That Burns Like Cigarettes [TERMINÉ] 07/12/10, 03:55 pm | |
| Merci !!  |
| | | | Kennedy Carwley-Smith
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| | Sujet: Re: Eyes That Burns Like Cigarettes [TERMINÉ] 07/12/10, 07:01 pm | |
| ADORABLE ton petit texte Bienvenue à toi, merci de t'être inscrite et bonne continuation |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: Eyes That Burns Like Cigarettes [TERMINÉ] 07/12/10, 07:39 pm | |
| bienvenue parmi nous ! |
| | | | Lexie Dawson
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| | Sujet: Re: Eyes That Burns Like Cigarettes [TERMINÉ] 07/12/10, 09:42 pm | |
| OMG Frida  Qu'est ce qu'elle est belle BIENVENUE A TOI  Hâte de voir ce que tu vas faire  |
| | | | Jill Marshall
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| | Sujet: Re: Eyes That Burns Like Cigarettes [TERMINÉ] 07/12/10, 10:11 pm | |
| Tu ne peux pas faire partie de ce groupe. Sinon, bienvenue. |
| | | | Scarlett Aberline
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| | Sujet: Re: Eyes That Burns Like Cigarettes [TERMINÉ] 07/12/10, 10:15 pm | |
| Heureusement qu'on a Jill notre petit ange gardien. Et elle a bien raison, tu ne peux faire partie que des "new yorkers".  |
| | | | Lily Fendler
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| | Sujet: Re: Eyes That Burns Like Cigarettes [TERMINÉ] 07/12/10, 10:40 pm | |
| C'est vrai ca. Mais vu le métier... Et tout le toutim, je pense qu'on va bien s'entendre miss, et Gustavsson est un EXCELLENT choix.  Bienvenue ! |
| | | | Norah Johnson
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| | Sujet: Re: Eyes That Burns Like Cigarettes [TERMINÉ] 08/12/10, 12:54 am | |
| Merci tout le mondee pour le superbe accueil | Pour le groupe, merci de m'avertir, je suis désolé  Je vais changer ça pour New Yorkers alors (: |
| | | | Invité
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| | Sujet: Re: Eyes That Burns Like Cigarettes [TERMINÉ] 12/12/10, 11:31 am | |
| Bienvenue parmis nous. |
| | | | Norah Johnson
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| | Sujet: Re: Eyes That Burns Like Cigarettes [TERMINÉ] 13/12/10, 01:59 am | |
| Mercii ! <3 Je pense avoir terminé ma fiche ! Et j'aimeraiis bien avoir l'aviis de Clyde, celui qui a créé le scénario !  |
| | | | Invité
Invité
| | Sujet: Re: Eyes That Burns Like Cigarettes [TERMINÉ] 13/12/10, 01:42 pm | |
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| | | | Scarlett Aberline
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| | Sujet: Re: Eyes That Burns Like Cigarettes [TERMINÉ] 14/12/10, 01:24 pm | |
| J'ai vraiment beaucoup aimé ta fiche Bien écrite, marrante comme tout (surtout le coup du vieux riche et son viagra  ), et vraiment dans l'esprit du forum. Bref, je te valide. Et excuse moi pour le retard.  |
| | | | Norah Johnson
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| | Sujet: Re: Eyes That Burns Like Cigarettes [TERMINÉ] 15/12/10, 02:37 am | |
| Merci (: Contentee que t'ai aimé la fiiche !  Et ce n'est pas grave pour le retard ^^ |
| | | | | | Eyes That Burns Like Cigarettes [TERMINÉ] | |
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