Sex and the city
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CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur.

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Clyde Keaton
YOU'RE A HOT MESS l Women need a reason to have sex. Men just need a place.
Clyde Keaton

Messages : 78
Date d'inscription : 02/12/2010
Crédits : àvenir
Célébrité de l'avatar : Sebastian Stan
Statut : Sexually busy, as usual.
Job : Doctorant en Science Politique
Localisation : Hotel Plaza, UES.
Citation du jour : Ne faut-il pas commencer par se haïr, lorsque l'on doit s'aimer ?


CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. _
MessageSujet: CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. Empty02/12/10, 11:18 pm

    IDENTITY CARD
    CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. X3x0eg FBI, sortez vos papiers


    CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. Av03k
    © aurelie
      Clyde Andrew KEATON;


      CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. 2s0ehpx CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. 2w4zac0 CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. 2nrfyx
      à remplacer par des icons représentant votre personnage

      Salut toi. Je suis Clyde Keaton et j'ai 26 ans. Je mène une vie paisible à New York, où je travaille en tant que serveur au fast food du coin... Je plaisante, j'ai une tête de serveur ? Je suis doctorant en Science Politique. Plus spécifiquement, j'écris une thèse audacieuse sur le Soft Power.. J'ai la nationalité Américaine mais j'ai également des origines irlandaises Je suis né/née à New York, en 1984. Je suis actuellement plus ou moins célibataire, comme tout bon gentleman qui se respecte. Et quant à mon orientation sexuelle, et bien, je suis hétérosexuel. Je vis actuellement dans l'Upper East Side, et ce, seul. De plus, j'appartiens au groupe des Hot Mess. See you later guys.


    WHAT ABOUT MY TASTES ?
    CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. X3x0eg le célèbre questionnaire de Proust, only for you!

    Ma vertu préférée; La courtoisie. Je suis un homme poli, bien élevé et plutôt agréable au premier abord. J'ai appris très tôt qu'on obtenait bien davantage en caressant dans le sens du poil qu'en allant systématiquement à la confrontation. Le gendre idéal ? C'est moi.
    Le principal trait de mon caractère; La pondération. J'aime me considérer comme un dandy mesuré, qui n'est pas en proie à des passions dévorantes qui le mèneront à sa perte. Certaines clairvoyantes me trouvent manipulateur, je me dis prévoyant. Tel un joueur d'échecs, j'ai ce besoin viscéral de posséder toujours une longueur d'avance sur mes adversaires. C'est pourquoi j'ai l'air toujours si placide, telle une force tranquille rassurante que rien ni personne ne peut stopper
    La qualité que je préfère chez les hommes; La médiocrité. J'aime qu'ils me soient inférieurs et par là même me placent sur un piedestal aux yeux de ces demoiselles sans même s'en rendre compte. J'aime donc particulièrement les hommes vulgaires, les rustres dont le vocabulaire laisse à désirer, les petites frappes qui ne respectent pas la gente féminine, les gros bras manquant cruellement de savoir vivre, et le beauf scotché devant sa télé. Entre autres, les exemples parlants ne manquent pas pour saluer l'infériorité de mes pairs.
    La qualité que je préfère chez les femmes; J'aime tout chez elles. Les regarder se mouvoir avec grâce et élégance est un spectacle dont je ne me lasserai jamais. J'aime leur beauté, j'admire la poésie qu'elles dégagent inlassablement. Je suis charmé par le moindre détail : un grain de beauté, une robe qui vole, une vivacité d'esprit sans pareil. Même une fille qui perd pied et se met à jurer en pleine rue peut m'émouvoir dans sa fragilité. Enfin, ce que j'aime par dessus, c'est leur naïveté : les filles sont tellement faciles à séduire.
    Mon principal défaut; Je ne sais pas, je me trouve exempt de défaut. Allez, pour vous plaire, je veux bien concéder à me trouver une légère imperfection. Peut être suis-je légèrement immodeste. Mais alors, très légèrement. Ceux qui critiquent ma soit-disant 'arrogance démesurée' sont incontestablement jaloux de mon assurance. Et être sûr de soi et de ses atouts n'est pas un péché, loin de là.
    Ma principale qualité; Mon éloquence. Sincèrement. Je suis un excellent orateur, doté d'un pouvoir de persuasion assez exceptionnel. Ajoutez à cela un charisme brut et vous obtenez une réelle machine à convaincre. J'ai conscience d'être un excellent orateur et cela m'a servi tout au long de ma carrière universitaire. Lors des débats, je pouvais faire croire n'importe quoi à n'importe qui si j'y mettais la volonté suffisante. Même à mon propre professeur, c'est dire.
    Ce que j'apprécie le plus chez mes amis; Qu'ils ne soient pas de sombres bien-pensants aux jugements hâtifs et que nous possédions les mêmes jeux peut être pervers, mais absolument délicieux. Et fort divertissants.
    Mon occupation préférée; Séduire une jeune femme et sentir ses barrières s'abaisser une à une. J'aime rencontrer une jeune effrontée assez peu disposée à écarter ses cuisses en ma présence - quelle folie de se refuser à moi, n'est-ce pas ? - et la faire changer d'avis sur la question. Ce n'est même pas tant la sauter - pardon, lui faire l'amour - qui me donne le plus de plaisir. Non, c'est la traque. J'aime la convaincre. J'apprécie de voir ses yeux s'embuer de désir et ses "Non" autrefois si catégoriques ne devenir qu'une complainte lancinante sans conviction... Un délice à chaque fois.
    Mon rêve de bonheur; Une liste de femmes à faire pâlir Dom Juan, Valmont et Hugh Hefner. Et une carrière politique éclatante et nettement supérieure à celle de mon père.
    Quel serait mon plus grand malheur ? Que mon physique se dégrade. Cela peut paraître superficiel, mais là n'est pas la question. Il est simplement mon arme la plus affûtée et mon combat n'est pour le moment pas terminé.
    Mes auteurs favoris en prose; Cette question dépend de la jeune femme avec laquelle je me trouve. Je suis ravie de faire coïncider mes goûts avec les siens si cela lui permet de me considérer comme son âme soeur, ou le Prince Charmant. Plus sérieusement, Sartre.
    Mes héros/héroïnes dans la fiction; La marquise de Merteuil. J'aime me considérer comme un Valmont des temps modernes. Simplement, moi, je ne fais pas l'erreur monumentale d'avoir une Merteuil au dessus de moi. Et c'est ma plus grande force.
    Mes peintres préférés; Warhol, simplement parce qu'il était New Yorkais et que je suis - parfois - incroyablement chauvin.
    Mes héros/héroïnes dans la vie réelle; Je suis mon propre héros.
    Mes héros dans l'histoire; C'est assez fâcheux, mais plus vos questions se détournent de ma personne, moins elles sont intéressantes, j'ai l'impression. Bon, je répondrai Agammemnon, Jules César, Napoléon pour l'esprit de conquête. Bismarck & Machiaval pour l'intelligence hors du commun.
    Ce que je déteste le plus; Les mièvreries, la gentillesse dégoulinante, la bien-pensance actuelle qui uniformise complètement notre façon de penser, la médiocrité quand elle touche mes proches ou mes "amis".
    Comment j'aimerais mourir; D'une façon violente et remarquable. Un assassinat politique, ou un meurtre passionnel seraient pour moi des façons tout à fait intéressantes de perdre la vie.
    L'état présent de mon esprit; Conquérant. Sûr de moi.
    La faute qui m'inspire le plus d'indulgence; Aucune faute ne me rend plus indulgent. Je suis contre ce sentiment.
    Ma devise; "L'homme véritable veut deux choses : le danger et le jeu. C'est pourquoi il veut la femme, le jouet le plus dangereux." Nietzsche.

    NOTHING SWEET ABOUT ME
    CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. X3x0eg deux petites anecdotes à remplir. Have fun.

    1ère anecdote :

    CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. Tumblr_l8rtwuiV101qbza03
    shipthis

    Je tairai ma première journée à New-York. Non pas qu'elle soit inintéressante, loin de là - sachez que rien ne me concernant n'est totalement dénué d'intérêt - mais... je doute qu'elle vous fascine réellement. Puisqu'en réalité, je suis dans cette ville. Alors à moins que le formidable récit d'un bébé à peine âgé de quelques jours revenant d'une clinique privée dans les bras de sa gouvernante éveille votre curiosité, je pense que nous pouvons avancer. Oui, vous avez bien lu "gouvernante" et non "mère". A peine né, déjà délégué à du petit personnel. Il faut dire que ma mère se sentait soit-disant trop "faible" pour s'occuper de moi tandis que mon père était en déplacement à l'étranger, à la rencontre de je-ne-sais-plus-quel ambassadeur. Je devrais m'en souvenir, pourtant. Parce que sa rencontre avec ce type forcément insipide est son moyen mnémotechnique de se rappeler mon anniversaire. Pitoyable, n'est-ce pas ? Et comment ! Après, on ose se demander pourquoi je méprise cet homme autant que je l'admire. Parce qu'il est détestable, putain. Pardonnez-moi ce langage, je ne jure jamais. Mais nous sommes entre nous et le sujet de mon paternel est plutôt sensible. Je crois que qu'importe mes efforts, il ne voit rien en moi de plus qu'un Dom Juan qui ne peut pas la garder dans le pantalon. Oh, il n'est pas foncièrement tort. Il est vrai que j'aime les femmes et qu'elles me le rendent bien. Mais ce n'est qu'une façon comme une autre d'occuper la vacuité de mon existence. Tout est si facile dans ce monde, que je m'en lasse comme de rien. Mon grand malheur est d'être né dans cette famille, où je ne peux même pas briller à ma juste valeur. Parce que je viens d'un milieu favorisé, tout m'est dû. Parce que tout m'est dû, je n'ai aucun mérite. J'ai beau être brillant, cultivé, plein d'esprit et plutôt séduisant, ça n'impressionne personne. Mon nom me précède comme un poison : je ne suis que le fils d'un politicien surexposé, efficace et pire que tout, respecté dans le milieu. Oh, j'aurais aimé que mon père ne soit pas si populaire. J'aurais aimé qu'il ne soit qu'un homme médiocre et corrompu, à qui le pouvoir est monté à la tête. Au moins, j'aurais eu l'occasion de montrer ma valeur. De prouver que je lui étais supérieur. Que je n'étais pas comme lui. Mais ce n'est pas le cas. Mon père est un homme remarquable, et je le hais pour ça. Personne ne lui connaît un seul travers et à moins d'être Jésus-Christ en personne, mon chemin est tout tracé : je ne ferai que marcher dans son ombre, quoi que je fasse. Et cette foutue lucidité, c'est le détail qui fout tout en l'air.

    Alors oui, je m'ennuie dans cette vie. Et je ne peux même pas m'en plaindre, qui comprendrait ? A qui pourrais-je conter mes malheurs de gosse à qui tout réussit ? Caprices d'enfant gâté, qu'ils diront. Et ils n'auront pas tort. Il n'empêche que je suis aisément blasé. On se lasse de tout, même du meilleur. Dormir dans des draps Egyptiens hors de prix n'a plus aucune saveur après 26 ans. Porter des costumes hors de prix non plus. Il n'y a que les femmes qui représentent pour moi un exquis divertissement, un sacré challenge. Parce qu'elles sont toutes différentes. En séduire une, ne signifie pas en séduire des milliers et j'aime devoir revêtir plusieurs visages pour parvenir à mes fins. J'apprécie qu'elles me résistent. J'aime jouer l'homme romantique, le mec viril, le poète torturé, le garçon mystérieux... je suis celui qu'elles veulent. Je suis celui qui fait succomber même la plus récalcitrante. Je suis celui qui leur offre un bonheur éphèmère, l'extase à l'état pur avant de tout reprendre brutalement. Je suis leur jardin d'Eden avant de devenir leur bourreau. Et, honnêtement, c'est la seule chose dans ma vie qui m'offre un frisson d'adrénaline. Faut dire que je suis un type complexe. Légèrement misanthrope sur les bords. Le souci des gens brillants - catégorie à laquelle je pense appartenir - c'est qu'ils comprennent tout, trop vite. Je sais que la nature intrinsèque de l'homme est mauvaise. Je ne fais rien pour déroger à la règle. Mais connaître les tréfonds de l'humanité ne me donne nullement envie de m'impliquer émotionnellement avec quiconque. Je suis un solitaire et paradoxalement, bien contre mon gré, je suis toujours entouré. Je ne parle pas que des femmes, ne vous méprenez pas. Je n'ai pas besoin d'amis non plus. J'ai, au bas mot, quelques connaissances. On s'enfile scotch sur scotch. On joue au poker. On contemple des beautés exotiques dénudées dans des clubs de strip-tease sélect. On parle de nos conquêtes. Mais rien de plus profond, et ça me suffit. Pour les filles, c'est la même chose. Je suis un comédien. J'ingère leurs goûts, leurs préférences. Tel un caméléon, je deviens celui qu'elles désirent (si ma belle gueule ne leur suffit pas) et c'est dans la poche. Elles ne me connaissent pas davantage, et ça me convient amplement. Bien sûr, un jour ça changera. Quand je serai un politicien reconnu (officiellement, j'ai envie d'enseigner mais en réalité... je sais inconsciemment que je passerai ma vie à tâcher de supplanter mon géniteur), je prendrai une femme. C'est important pour l'image - et la réputation - un beau mariage. Fastueux. Je choisirai la plus jolie et la plus malléable des plantes et je la poserai délicatement dans un écrin doré duquel elle ne sortira plus jamais. Je ne l'aimerais sans doute pas, j'en ai aucune idée, mais elle ne sera qu'un précieux objet de valeur, une décoration indispensable dans ma vie.

    Peut-être que j'ai l'air odieux. Ou goujat. Ou trop sûr de moi. Peut-être. Mais vous savez quoi ? L'avis des autres ne m'a jamais importé. J'ai passé toute ma vie à quémander le respect et l'attention de mon père et cette perte de temps m'a permis de passer outre le reste du monde. Vous compris. Oh, je sais, je ne raconte en rien ma première journée à New-York. Je vais tâcher de me rattraper... Celle-ci ne sera pas ma première journée mais plutôt... le premier jour du reste de ma vie. . Rien que ça. J'avais dix sept ans, et je venais d'obtenir mon diplôme de St Jude's, l'école privée dans laquelle j'étudiais. Mieux encore, j'étais major de ma promotion. Et accepté dans toutes les universités de la Ivy League dans lesquelles j'avais postulé. Bien évidemment, mon père n'était pas là pour ma remise de diplôme. Il avait un meeting au parti républicain et il ne pouvait décemment pas s'absenter pour si peu. Après tout, de nos jours, tout le monde parvenait à obtenir son diplôme haut la main, non ? A moins d'être sacrément demeuré. Oui, ce connard (je m'excuse encore une fois pour le vocabulaire peu châtié, heureusement que je ne consigne mes pensées que dans un journal et pas en public) parvenait même à minimiser mes succès. A côté de cela, à table, sans décoller son regard du New York Times comme si n'importe quel foutu article était plus important que l'avenir de son fils il assistait lourdement pour que je continue à Yale, New Haven. Lui même y avait fait ses études, comme son père avant lui et son grand père et... Je ne l'écoutais déjà plus. Il transformait chaque conversation en monologue dont il était le héros et c'était tout bonnement insupportable. L'écouter me relater pour la énième fois ses aventures à la fameuse société secrète des Yalies, la Skull & Bones, me donnait clairement envie de rendre mon déjeuner. Mais ce serait manquer de respect à Greta, la cuisinière Tchèque. Et comme j'étais enfin à deux doigts de la sauter, ce serait un choix assez peu judicieux, vous en conviendrez. Bref. Il voulait Yale. Je souhaitais Columbia. Quitter New-York n'était pas une option. J'étais un socialite dans cette ville. Tout le monde me connaissait. Me respectait. M'adulait. Me détestait. Me craignait. Je ne comptais pas tout abandonner. Oh, bien sûr, il m'aurait été très facile de tout reconstruire ailleurs, un véritable jeu d'enfant. Mais je ne m'étais pas encore lassé de mes nombreux jouets, merci bien. Et puis, sans l'avouer, j'étais dirons-nous, attaché à cette ville. C'est pourquoi je choisis Columbia. Ce fut une façon d'emmerder royalement mon paternel également, je l'avoue. Je ne suivais pas la tradition, pauvre de moi. Mais j'avais compris une chose : pour dépasser mon père, je ne devais pas foncièrement marcher dans ses pas. Il fallait que je trace mon propre chemin. Quitte à couper le cordon, autant le faire complètement, n'est-ce pas ?

    C'est pourquoi j'abandonnai ma spacieuse chambre, ma famille, le personnel et la délicieuse Greta (non sans l'avoir prise sur le plan de travail auparavant, bien entendu) pour une suite à l'année à l'Hôtel Plaza. J'aurais bien été incapable de m'en prendre en charge, n'était-ce pas le travail d'une femme ? Oui, j'avais l'audace d'être un macho invétéré, veuillez me pardonner mes offenses comme je... Vous connaissez la (lassante) chanson. L'excuse officielle, c'est qu'à dix huit ans, j'avais besoin d'espace et d'indépendance. Et de silence pour travailler en paix. En réalité, j'avais simplement envie d'être chez moi. Et vivre dans un hôtel aussi luxueux est un piège à femmes absolument exquis. On dit que femme qui rit, à moitié dans ton lit. C'est d'une bêtise sans nom. Ce qui attire une femme, c'est l'argent. Oh, je parle pour vous, bien évidemment. Personnellement, je peux me targuer de posséder un physique irréprochable, un magnétisme omniprésent, une éloquence à toute épreuve et... une modestie incroyable, certes. Mais il faut bien l'avouer, du haut de ma suite au Plaza, devant la baie vitrée avec vue plongeante sur Central Park, un verre de scotch à la main j'avais l'impression de redécouvrir New York. Je me sentais tel le maître du monde : invincible. C'est pourquoi je considère cette journée comme ma toute première dans cette ville. Ma première en tant qu'adulte, du moins.



    2ème anecdote :

    CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. Tumblr_l9ctiiQNxm1qa4qnzo1_500
    purplebass

    Si Clyde possède un journal où il couche sur papier le moindre de ses ressentis, sans pudeur aucune (et que le dit carnet repose dans un coffre de sa suite au Plaza, le rendant par la même inviolable), le jeune homme rédige également un tout autre journal... à ne pas mettre en toutes les mains. Celui-ci regorge de noms de jeunes femmes accompagnés de date et d'une longue description. Pas spécialement de l'acte en lui même, bien que quelques détails y siègent. Plutôt de la rencontre, de la séduction et là aussi, de ressentis. A la fin du carnet, une liste extrêmement longue. La plupart des noms sont barrés mais de nouveaux apparaissent très régulièrement.... En voici quelques extraits.

    Willa

    Si on m'avait dit à l'avance que je coucherai avec cette fille, j'aurais ri au nez de mon interlocuteur. Non, visuellement parlant, ça n'en jette pas assez. Je l'aurais plutôt interrompu d'un claquement de langue à la fois sec, dédaigneux et sans appel. Non, mais, Willa, really ? La première fois que j'ai vu cette fille, la seule pulsion qu'elle a déclenché en moi fut une irrépressible envie de la faire taire. Sérieusement, vous n'avez même pas idée à quel point cette gamine de seize ans est une plaie. Mais reprenons... J'avais quinze ans à l'époque et un été gâché par les présidentielles qui approchaient au mois de novembre. Mon père refusait donc de quitter la ville et ma soumise de génitrice ne pouvait supporter l'idée de partir en vacances sans son époux. Moi ? La question ne se posait même pas. Je n'avais que quinze ans, je ne pouvais décemment pas partir en vacances. Mon père me rabâchait les oreilles avec une idée stupide : une préparation militaire supérieure. Vous me voyez en militaire ? C'est une carrière pour les jeunes désoeuvrés et sans avenir, trop stupides pour entreprendre de véritables études et pas assez débrouillards pour s'en sortir d'une autre façon. La chair à canon, non merci. Bon, d'accord, étant autoritaire moi même peut être étais-je légèrement réfractaire à cette forme d'autorité, soit. Mais mon cousin Benjamin, lui, y partait. Et ce petit con - syndrome du garçon idéal, aussi gentil qu'il est demeuré - était un sacré exemple pour mon père. Pas pour moi, puisqu'il y avait comme un gouffre entre sa culture & la mienne, si vous voyez ce que je veux dire. Si je peux me montrer réfractaire aux gens qui me sont égaux, je méprise volontiers les faibles que cela soit clair. Bref, on a coupé la poire en deux, je suis parti dans un camp d'été en Angleterre. Pas militaire, mais un truc pour fils de riches tout de même assez guindé. Parfait. Et là, c'est le choc : le premier jour, alors qu'on doit se mettre en groupe de deux, on me refourgue cette petite brune qui parle trop, fait de grands moulinets de bras inutiles en permanence et... milite en faveur de la nature, des animaux, de la planète et j'en passe et des meilleures. Comment décrire Willa ? Déjà, c'est une souillon. Personne n'a jamais su comment elle a pu intégrer un tel camp élitiste, mais le fait est que c'était une imposteur. Elle avait ce détestable accent Cockney à couper au couteau et des cheveux toujours décoiffés. Parfois, j'avais envie de lui brosser rageusement les cheveux, quitte à les arracher par poignées entières. Non, sérieusement, cette fille me rendait fou. Exhibo, délurée, extravertie. Totalement hystérique, même. Et impliquée. Désastreusement impliquée. Le genre à s'attacher nue à un arbre au coeur de la forêt amazonienne pour militer contre la déforestation ou à écorcher vif un braconnier pour se faire une écharpe de sa peau. Cette fille était cinglée. Une gamine de seize ans complètement paumée aussi expérimentée qu'une trentenaire nymphomane. Je passais mon temps à la reprendre. Quoi qu'elle dise, quoi qu'elle fasse, j'étais sur son dos. J'étais franchement détestable avec elle, et sans aucune arrière pensée pour une fois. Je voulais simplement qu'elle se la ferme en ma présence. C'était tout. Mais, il faut dire qu'elle était tout de même sacrément sexy. J'avais quinze ans et les hormones en ébullition. Ca faisait longtemps que je m'intéressais aux filles. Mais jusque là... aucune ne m'avait laissé mettre plus que ma main dans leur petite culotte. Il faut dire que les filles de Constance étaient parfois sacrément coincées. Et dire qu'à cette époque je ne savais pas que deux ans plus tard, elles seraient toutes plus ou moins sautées par l'intégralité de l'Upper East Side. Ente autres. Bref, Willa me faisait quelque chose. La haine qu'elle déclenchait chez moi se transformait rapidement en désir et c'était un sentiment que je ne connaissais encore que très peu. C'est pourquoi, à la fin de la première semaine, quand je me retrouva seule avec elle dans l'écurie, je lui ai littéralement sauté dessus. Elle était encore en train de piailler avec son accent insupportable sur des pratiques chamaniques et une histoire de karma qui me donnait la nausée. Bordel, il fallait qu'elle se taise. Et la seule façon que j'ai trouvé de la faire taire, c'est en la plaquant sans ménagement contre un mur et en pressant mes lèvres contre les siennes. Elle ne se fit pas prier, bien au contraire. L'énergie que je mettais à la dénigrer, cette post hippie semblait la mettre à me rendre totalement dingue. Sa main qui s'aventurait dans mon boxer tandis que mes lèvres parcouraient son cou semblait plutôt... parlante. Qu'on le veuille ou non, on n'oublie jamais sa première fille. Surtout quand elle est aussi... bandante que Willa. Du haut de ses seize ans, elle possédait une décontraction totale que je lui enviais. Elle se fichait de passer pour la Reine des traînées, elle se donnait entièrement et sans réfléchir plus que ça. Oh, je vous rassure. En dehors des moments privilégiés que je passais entre ses cuisses, je continuais à la dénigrer de toutes mes forces. Et elle continuait à jacasser autant, sachant que ça m'agaçait. Mais plus on faisait grimper les tensions entre nous, plus le sexe était bon. Presque animal. On dit que l'homme se bonifie avec les années. Si tous les hommes passaient par l'étape W., il leur suffirait de quelques jours pour devenir drôlement performants. En plus d'être délurée au possible (elle avait envie de tout expérimenter et son contraire, possédait la fougue de la jeunesse et les envies parfois loufoques d'une femme mariée trop longtemps soumie au missionnaire), Willa était infatigable. Je ne l'ai jamais revue. Je n'ai jamais cherché à le faire, c'est pas une fille pour moi. Je suis persuadée qu'elle crapahute dans les montagnes Tibétaines en ce moment même, ou une autre connerie du genre. Mais en y repensant, j'éprouve une certaine tendresse passagère pour cette gamine. Elle a désacralisé la notion de sexe, tabou dans les familles huppées. Sans elle, j'aurais sûrement été un pervers frustré, contraint à regarder avec insistance les uniformes de mes camarades en espérant posséder des rayons x jusqu'à ce que l'une d'entre elles daigne écarter les cuisses. A la rentrée, j'étais au contraire un héros conquérant. Et ce tableau était bien plus amène de faire ôter les dits uniformes... Mais c'est une autre histoire.

    Callie

    Callista Woodward, c'est mon écorchure au palais. Celle qui ne cicatrise jamais parce qu'on ne peut pas s'empêcher de la lécher. Oh, il y a eu des tas de filles entre Willa et elle. Mais, rien de bien palpitant, même si elles servaient à gonfler ma liste. Entre quinze et dix sept ans, j'ai passé mon temps à ôter leur virginité à un nombre élevé de nanas. C'était un peu mon hobby, débaucher la jeunesse dorée. Oh, ne me prenez pas pour un monstre, elles en avaient autant envie que moi, elles n'osaient simplement pas se l'avouer. Et puis, j'avais un certain don pour ça. Un magnétisme qui à la fois met en confiance et donne envie de retirer ses vêtements sans plus attendre. Ne pas s'en servir aurait été une offense à Dieu, n'est-ce pas ? Cependant, à dix sept ans, trouver des filles de l'Upper East Side encore réellement chastes... c'est difficile. C'est pourquoi jusqu'à mes dix huit ans et ma remise de diplôme, je me suis attaqué à celles déjà en couple, pour le challenge. Les femmes déjà prises m'ont toujours davantage attiré. Pourquoi ? C'est simple, elles ont ce goût d'inaccessible auquel il est difficile de résister. Si elles sont déjà avec un homme, c'est forcément qu'elles sont géniales n'est-ce pas ? Oui, raisonnement stupide, je le conçois mais qui m'a pourtant mené pendant plus d'un an. Jusqu'à mon entrée à Columbia. Je l'avais conçue comme une orgie en devenir. Toutes ces filles superbes à séduire, à aimer le temps d'une ou plusieurs nuits... Le pied. Le petit cercle très fermé de l'UES commençait à me lasser, étant donné que j'avais sauté presque toutes les filles à papa qui valaient la peine. C'est dire à quel point je n'avais pas chômé. Alors que je m'apprêtais à commencer ma vie d'étudiant de la plus belle façon qui soit, Spencer me tomba dessus. Spencer ? C'est ma cousine. La soeur de cet infect Benjamin. Si vous voulez, c'est la seule femme que j'aime et respecte sans envisager outre mesure de lui faire sauvagement l'amour. Un exploit, donc. Cette fille avait le don de faire ressortir ce qu'il y avait de meilleur en moi. Le problème, c'est qu'elle était mauvaise. Comme moi. On parlait souvent cul, tous les deux. Elle ne pouvait pas le faire avec ses copines bien trop coincées sans passer pour une traînée (la pauvre était confinée dans un pensionnat religieux de San Francisco) et moi, j'étais plutôt de bon conseil. Dire qu'on était complices ne suffisait pas. Et la bonne nouvelle c'était que Spencer avait choisi la même université que moi. Oh, non, pas pour son cousin adoré. Pour Tray Samuels. Un homme à mon avis bien médiocre qu'elle chérissait plus que tout. Même si ça la faisait vomir de l'avouer. C'était le mec le plus dégoulinant de bons sentiments jamais vu sur toute la Côte Ouest. Mais Spencer le voulait. Depuis des années, sans succès. Ce petit con s'était entiché de la vierge effarouchée de base, Callista Woodward, avec ses principes et sa chasteté immaculé. Le discours redondant classique. Spencer voulait Tray avec une telle hargne que je me proposa spontanément pour écarter le danger Callie. Quel sombre idiot j'ai pu être ce jour là. Mais voir naître l'espoir dans les yeux de ma cousine était un si joli spectacle que je ne regrette vraiment pas. Je suis vraiment tendre quand il s'agit d'elle. J'sais pas, un côté protecteur très bien dissimulé j'imagine. Je n'aurais jamais posé les yeux sur Callie, en temps normal. Elle était simplement mignonne et je crois que ce mot en lui même veut tout dire. Je ne recherche pas une fille splendide... bon, si. Mais le cas échéant, elle doit dégager quelque chose. Callie ne dégageait rien excepté sa naïveté écoeurante et son innocence. Elle était farouche et ressemblait davantage à un oisillon sauvage qu'à une panthère. Bon, la petite brune était obnubilée par les drames romantiques, les histoires chevaleresques d'un autre temps et j'en passe. Son Tray était peut être gentil, mais il n'avait pas la passion que l'enfant qui sommeillait en Callie recherchait. Lui, il était stable, fidèle et n'en voulait pas à son vagin, voilà tout. Ca lui convenait mais comme toute petite fille, elle rêvait à plus. Et ce plus, j'allais l'incarner. Je dispose d'une aisance certaine à revêtir un autre visage que le mien, je l'ai déjà expliqué. Pour cette rêveuse je serai son prince de drame romantique, son héros torturé. Bien sûr, Callista s'était montrée récalcitrante. Elle m'avait sorti le discours de la petite amie fidèle et quand son disque fut rayé, celui de la vierge avec des convictions. Mais que pouvait-elle faire face à l'âme soeur ? Face au grand Amour ? Le laisser filer n'était pas une option alors que ses héroïnes prenaient des risques incommensurables afin de ne pas laisser la flamme de la passion s'étioler. Au bout de cinq mois d'ardents efforts pendant lesquels je ne baisa qu'avec des femmes que je dus payer pour leur discrétion (je ne devais surtout pas ruiner mes chances avec Callie, maintenant que le jeu prenait une tournure intéressante), elle finit par me céder. Au lit. Avec des bougies aux huiles essentielles, des pétales de rose, de la lumière tamisée et du Tchaikovsky. Mis à part l'excellent choix musical, tout était à gerber de mièvrerie, à l'image de la pauvre bestiole apeurée qui m'attendait sous les draps de son lit king size. Cependant, lui prendre sa virginité ne suffisait pas. Il fallait que je lui offre le bonheur, l'extase à l'état pur. Qu'elle quitte Tray n'était pas suffisant. Je voulais qu'elle ne le désire plus jamais. Ni lui, ni aucun autre. Je l'ai rendue totalement dépendante de moi. Je lui ai offert une relation idyllique, passionnelle... avant de tout reprendre violemment et sans délicatesse aucune. Je lui ai expliqué toute l'histoire, qu'elle n'avait été qu'un pion, un jeu, une distraction pas même à la hauteur de mes attentes. Je n'ai pas mâché mes mots, de peur qu'elle retourne se jeter dans les bras de Tray en quémandant son pardon. C'était bien son genre d'être pathétique et exempte de fierté. Je ne pensais pas la laisser aussi détruite. Désemparée, peut être. Mais pas aussi désespérée. Callista ne put pas terminer son année universitaire. Pire encore, elle a fini par se faire interner quelques mois dans une clinique privée suite à une sévère dépression. Spencer ? Oh, elle a fini de se lasser de Tray, qui n'était après tout qu'un caprice. Moi, je repense souvent à cette fille. Peut être que je suis un goujat, mais je ne blesse jamais consciemment. Est-ce ma faute si je suis aisément lassé ? Non, je ne crois pas. Callie, elle, je l'avais séduite dans le seul but de la faire souffrir, et son nom sur ma liste n'est pas une fierté, loin de là.

    Emma

    J'avais arraché ces pages il y a déjà trois ans. Je crois qu'il est temps de les réecrire, avec le recul et la sincérité nécessaire. Emma, c'était une fille de ma promo. Elle était blonde, elle était incroyablement séduisante, et surtout brillante. Bien sûr, elle était sur ma liste. Coucher avec elle était même devenu l'une de mes priorités. Elle m'attirait. Moi, non. Cette fille avait une sacrée dent contre moi sans que je ne sache réellement pourquoi. C'est comme si elle lisait en moi et savait pertinemment que je n'étais qu'un gros baiseur sans âme. J'avais l'impression qu'Emma avait une opinion de moi aussi piètre que celle de mon père et ça me rendait dingue. Je voulais lui prouver le contraire, vraiment. Mais la jolie blonde ne me rendait pas la tâche aisée, loin de là. Je n'ai jamais vu une femme aussi effrontée et sarcastique de toute ma vie. Elle m'en a fait voir de toutes les couleurs et j'avais vraiment dans l'optique de lui prouver qu'elle avait tort. Avait-elle tort au fond ? Sûrement pas, mais je ne m'en rendais pas compte. Ca m'a pris huit mois. Huit foutus mois. Petit à petit, j'ai eu l'impression d'éprouver un sentiment inconnu. Vous savez, ce truc que les filles un peu niaises nomment "papillons danas le ventre". J'en sais rien mais je pensais de plus en plus souvent à elle, et ne pas voir Emma me... manquait. Bien sûr, j'aurais préféré me trancher les veines que de l'avouer. C'est pourquoi, quand on est enfin passé à la vitesse supérieure, dans le luxe de ma suite au Plaza, je n'ai pas mis longtemps avant de la congédier. Sèchement. Comme si j'avais envie de lui faire payer ce qu'elle me faisait éprouver, moi qui aimais à me considérer comme au dessus de ces... choses. J'ai été aussi odieux que possible, à l'image de l'homme détestable qu'Emma avait vu en moi dès le premier jour. Pourtant... pourtant, je me forçais. J'en avais pas envie et j'étais même à deux doigts de la supplier de rester, de ne pas m'écouter. De m'excuser, même. Dingue. Ses yeux brillaient, et je voyais bien qu'elle était à deux doigts de fondre en larmes. Comme elle devait regretter d'avoir succombé au connard beau parleur qu'elle avait pourtant percé à jour dès le début. Je crois que je n'ai jamais eu autant envie de l'embrasser qu'à ce moment là. C'est idiot, mais j'aurais pu lui dire que je l'aimais. Là, maintenant, tout de suite. Parce que je crois que ce fut la seule fois de toute ma vie que j'effleurai ce sentiment. La seule et unique fois. Les mots restèrent coincés dans ma gorge et je consentis simplement à lui appeler un taxi. Je descendis avec elle, bien qu'elle ne me regarda pas une seule fois. Emma semblait me mépriser et son indifférence était le pire des supplices. Je ne me comprenais pas. Même aujourd'hui, je ne me comprends toujours pas. J'ai laissé filer la seule fille qui aurait pu réveiller une meilleure part de moi même. La seule, putain. Lorsque j'ai refermé la porte du taxi sur elle, j'ai eu l'impression de faire la plus grosse connerie de toute ma vie. Je ne savais pourtant pas à quel point j'avais raison... On ne sait comment, mais le taxi fut pris au milieu d'un accident de la route assez violent, à trois heures cinquante du matin. Emma est morte sur le coup. Et depuis, je vis avec le poids des remords et celui, écrasant, de la culpabilité. Je regrette tellement. Elle est morte en me haïssant et depuis, je me hais pour ça. Je n'ai personne à qui en parler, je n'ai aucun ami assez proche pour me livrer. Je crois que depuis, si j'accumule encore davantage les conquêtes c'est pour retrouver entre des bras accueillants la sensation que je n'ai fait qu'effleurer avec elle. Si j'étais davantage attiré par les brunes, depuis Emma ce sont les blondes que je recherche. C'est affreux parce que je ne cherche qu'une chimère, un substitut à Emma, cette fille que j'aurais pu aimer et qui ne l'a jamais su. Au fond, je crois que je cherche simplement ce simulacre d'amour mais malheureusement, la magie n'opère jamais et je ne passe que pour un beau parleur libidineux...


    Vous voulez faire d'autres anecdotes, en plus de celles-ci ? Pas de problème.
    Vous pouvez en faire autant que vous souhaitez, si vous jugez cela utile.


    TELL ME ALL ABOUT YOU, THE 'REAL' YOU
    CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. X3x0eg qui est derrière l'écran, on veut tout savoir

    CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. Volfdz
    icon by maquizz
    PRÉNOM/PSEUDO : /
    AGE : /
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    IMPRESSIONS SUR LE FORUM: cf. JOAN
    PRÉSENCE SUR 7 JOURS: 6/7
    MOT DE LA FIN:
    Je vous envahiiiiiis.



Dernière édition par Clyde Keaton le 06/12/10, 03:23 pm, édité 12 fois
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Scarlett Aberline
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excited héhé 2 héhé

Tu as un don pour les fiches luuuv

Nietzsche + Sartre + Valmont = cocktail explosif. pervert
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MessageSujet: Re: CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. Empty03/12/10, 01:16 am

Un don certain pour les citations, à la limite laugh.
Mais pour les fiches... j'en doute sing !

Bon, je posterai sûrement les anecdotes demain soir, je ne suis pas là la journée et je songe à me coucher tôt Arrow (on y croit). En tout cas, je me suis bien amusée avec le questionnaire de Proust héhé

Dites, vous comptez l'ouvrir quand ce bijou ? (que je fasse mon possible pour être là Arrow)
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Lexie Dawson
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Waow, waow, waow !
Clyde ? Très bon choix dit donc excited
Je dois avouer j'ai pas encore lu ton questionnaire mais je vais m'y mettre de suite I love you
Bref, encore bienvenue alors i'm beginn u
Oh et je pense qu'on ouvrira le forum Samedi...donc demain sing Parce que ce soir je pense pas que TOUT sera prêt Laughing
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Leighton J. Fendler
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MessageSujet: Re: CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. Empty03/12/10, 12:11 pm

Bienvenue... Mais... vous avez changé l'avatar du Clyde ? C'était pas Somerhalder quand je suis arrivé... Y'a longtemps soit.... sing

En tous cas, ce PV est génial, t'as bien choisi j'dois dire. Bienvenue guy.


'J'aime tout chez elles. Les regarder se mouvoir avec grâce et élégance est un spectacle dont je ne me lasserai jamais. J'aime leur beauté, j'admire la poésie qu'elles dégagent inlassablement. Je suis charmé par le moindre détail : un grain de beauté, une robe qui vole, une vivacité d'esprit sans pareil. Même une fille qui perd pied et se met à jurer en pleine rue peut m'émouvoir dans sa fragilité. Enfin, ce que j'aime par dessus, c'est leur naïveté : les filles sont tellement faciles à séduire.'

Wow. No comment je dois dire. Cette écriture... Wow, et tout le questionnaire est génial.
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Clyde Keaton
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MessageSujet: Re: CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. Empty03/12/10, 01:05 pm

Et merci une nouvelle fois Lexie i'm beginn u smile 1
Oh ? Samedi ? :>_<: J'ai un job étudiant le samedi toute la journée, donc je ne serai là que le soooooooir (et entre midi et deux sûrement Arrow)

Merci again Leighton I love you Et heureusement que c'est plus Ian Somerhalder, j'aurais pas pu le choisir sinon, j'en fais une totale overdose de ce mec pervert. Et en plus je supporte pas l'euphorie de smileys having sex snifouille bave miaaam sad et j'en passe qu'il déclenche. Ah la la... sing
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Scarlett Aberline
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Si si avant c'était Ian mais j'ai aussi fait une overdose. ET PUIS MON PETIT SEBASTIAN ME MANQUAIT GRANDEMENT I love you i'm beginn u On le voit pas assez. J'adorais son perso dans GG, par contre Serena je la déteste, elle est tellement molle et fade (et pourtant j'ai pris Blake, je sais je suis zarb' Arrow)

Moi je ne déclenche pas l'euphorie des smileys par rapport à l'avatar, mais plutôt par rapport au personnage sing

Devrais-je écrire ?

" CLYYYYYYYYYYYYYYYYYYYYDE pompom little heart excited héhé 2 smouack "

mdr peut être.

Bref, oui Samedi, le soir par contre je serai pas là, je vais au théâtre Arrow Donc faudra soit qu'on ouvre avant, donc dans l'aprèm, soit dimanche au pire du pire.
We'll see.
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MessageSujet: Re: CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. Empty03/12/10, 07:59 pm

Dimanche ce serait tellement parfait de chez parfait i'm beginn u C'est la journée où je geeke en toute impunité in front of mes parents parce que je "cherche un stage" pervert. Bon, javoue, je cherche hein sing mais... si je peux en profiter pour squatter ici en même temps laugh

Ouuuui, voilà pour le personnage, c'est cool. Pour l'avatar, ça me donne envie de me flinguer. Comme les gens qui demandent un lien uniquement parce que c'est Ian sans idée, rien. Arg. i\'msozen

Je crois que je l'ai jamais vraiment vu dans GG, à part un épisode, maybe. J'ai tendance à suivre cette série par intermittence laugh. Les trois quart des personnages m'agacent et comme j'étais habituée aux livres... J'm'en remets pas. Mais je l'avais adoré dans KINGS, Stan, une série arrêtée au bout d'une seule saison mais pourtant prometteuse & originale. crying
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MessageSujet: Re: CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. Empty03/12/10, 08:10 pm

Faut geeker un peu, surtout le Dimanche. Ca fait du bien au moral quand t'as passé une atroce semaine à bosser (enfin bosser...c'est un grand mot, ça dépend sing)

Bref, on va voir ça avec Mina. Dimanche ça me semble bien, mais Samedi aussi, breeef i don't know.

Oui, les demandeurs de liens pour l'avatar j'ai envie de les flinguer. Surtout pour ensuite te pondre un lien vraiment nase. Non merci quoi. (a)
De toute façon, moi je veux pas plus de 10 liens sinon après on s'en sort plus. Dans la "vraie vie", on a pas 15 meilleurs amis, 15 ennemis etc. Ou sinon, c'est qu'on a de légers soucis. Arrow

Moi aussi, c'est par intermittence, vu le grand manque d'intrigue, et certains personnages horripilants dont Serena et Dan. Les bouquins étaient BIEN PLUS trash ! Donc c'était bien mieux. La série reste franchement bon enfant. Faut que ce soit un peu plus dirty, l'Upper East Side.
Je connais pas KINGS... scratch Va falloir que je rattrape ça !

MAIS ICI, NOTRE UPPER EAST SIDE VA ÊTRE DIRTY. héhé Surtout avec Clyde dedans, ça risque de ne pas chômer. (a)


Bref, trêve de commentaires. J'arrête définitivement de polluer les fiches.
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Clyde Keaton
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MessageSujet: Re: CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. Empty03/12/10, 08:24 pm

Kings c'est... spécial & un peu gros parfois mais ça avait le mérite d'être original. En réalité c'est une histoire biblique (David VS Goliath et l'histoire de David qui s'en suivit) modernisée et mise au goût du jour. New York est la capitale du royaume du Roi Silas et c'est assez fou tant c'est bien fait. (le mec qui joue le Roi est connu, j'ai mangé son nom mais il est hyper doué Arrow) Par contre, j'annonce, Stan est gay dans la série. red

Ouais, Gossip Girl c'est bien trop édulcoré, pourtant le pilot était pas mal. Et plus ça passe, plus c'est juste une ronde de couples qui s'échangent, ça va deux minutes. so red

J'arrête de polluer également Arrow
Je file encore chercher des stages & je ferai ma fiche ce soir sing
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MessageSujet: Re: CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. Empty05/12/10, 03:56 pm

DP est c'est mal mais c'est juste pour prévenir que je poste la fin ce soir, j'ai quasiment fini héhé
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J'AIME TELLEMENT CE QUE TU AS FAIT JUSQU'ALORS. i'm beginn u luuuv
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CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. _
MessageSujet: Re: CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. Empty05/12/10, 04:08 pm

Pas moi, j'ai du mal avec la première personne Arrow

Mais c'est un essai justifié par l'écriture du journal pervert

Merci en tout cas, c'est l'essentiel i'm beginn u
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Clyde Keaton
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CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. _
MessageSujet: Re: CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. Empty06/12/10, 03:25 pm

J'ai fini pervert sing !
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Scarlett Aberline
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Tu m'excuses mais je ne peux te valider que maintenant, parce que bon, j'ai travaillé toute la journée. Sleep

BREF, j'ai tout simplement adoré ta fiche, les anecdotes sont totalement dans l'esprit du personnage et la liste des conquêtes à la fois touchante et drôle. (la première est vraiment hilarante laugh)

Donc, je te félicite, c'est vraiment une très très bonne fiche.

VOILÀ, MAINTENANT JE VAIS POUVOIR TE MARTYRISER, MOUAHAHA fouet

J'arrête ces bêtises, et je te valide. pervert
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MessageSujet: Re: CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur. Empty06/12/10, 08:16 pm

Scarlett Aberline a écrit:
Tu m'excuses mais je ne peux te valider que maintenant, parce que bon, j'ai travaillé toute la journée. Sleep

fouet fouet fouet fouet fouet

Merci, sinon. Hâte de poster sing

(moins de faire la fiche des liens Arrow)
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CLYDE || Il n'est plus pour moi de bonheur, de repos, que par la possession de cette femme que je hais et que j'aime avec une égale fureur.

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